L’information fait froid dans le dos. D’ici quelques années, il y aura plus de morts que de vivants sur Facebook. Comprenez : plus de profils d’utilisateurs décédés que de profils d’utilisateurs vivants. D’où cette question, que faut-il prévoir en amont pour éviter que vos données n’impactent le deuil de vos héritiers ?
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